Des jeux coquins qui conduisent à bien plus

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il y a 6 ans

Des jeux coquins qui conduisent à bien plus

Je suis marié à une femme superbe. Comme moi, Lili a 35 ans. Elle est blonde, fine, élancée et surtout très joueuse. Cela fait maintenant des années que nous sommes ensemble. Pourtant, l’amour et le désir sont toujours très présents. Nous avons découvert les plaisirs du libertinage, rencontré des couples très sympa avec lesquels les soirées furent particulièrement chaudes. J’aime beaucoup repenser à ces moments, les souvenirs dansent dans ma tête, c’est une source de plaisir immense. Les images sont toujours celles de ma Lili aux prises avec un autre homme : je contemple ma femme, au risque de délaisser ma partenaire du moment. J’ai donc dû me rendre à l’évidence : je suis candauliste. Et notre première expérience de ce type demeure à mes yeux complètement inoubliable. C’est pourquoi je souhaite vous la narrer dans le moindre détail.

Un soir, au restaurant en amoureux, je me suis décidé à lui confier mon fantasme : on pourrait aller boire un verre en se faisant passer pour des collègues de boulot, elle serait alors libre de se laisser draguer. Lili m’a demandé jusqu’où elle pourrait aller si une occasion se présentait. Je lui ai répondu: « C’est toi qui vois…«

Après un petit digestif, nous avons bougé vers un bar de Montpellier. Mon coeur battait la chamade : Lili était si belle ! Elle avait cette lueur particulière dans les yeux : ce soir, elle avait envie de jouer, je sentais que tout pouvait arriver. Le bar était bondé, la musique sympa. Ma chérie s’est ravisée en me rappelant que si je la trouvais si belle, c’était parce que j’étais amoureux, et qu’elle n’était pas sûre de plaire aux autres hommes.

Pour ma part, je n’avais aucun doute… Et, en effet, le temps pour moi d’aller chercher deux verres a suffi à un charmant garçon pour entamer la conversation. Lili le trouvait un peu jeune. Je lui ai rappelé discrètement que c’est juste pour un plan cul ! Elle m’a souri et a rejoint Vincent sur la piste de danse. Je les voyais se trémousser, discuter et rire. Ils se sont rapprochés et, finalement, le plus naturellement du monde, se sont embrassés.

Un frisson m’a parcouru l’échine. De loin, Lili m’interrogeait du regard. Mes yeux lui ont répondu : « Tout va bien ! »Alors elle a fermé les siens et a profité des baisers de son partenaire. Un peu plus tard, Vincent est venu discuter avec moi. Je lui ai appris que nous n’étions pas seulement des collègues, mais aussi des amants. Devant son air inquiet, je l’ai rassuré, lui expliquant qu’un plan à trois était tout à fait possible. Il a contemplé Lili qui dansait non loin, le désir qui le parcourait me troublait. Il s’est décidé : il avait un appart’ d’étudiant tout près, il allait juste prévenir ses copains de ne pas l’attendre.

Lili m’a rejoint et m’a demandé où était passé son bel étudiant. Je lui ai raconté notre discussion : « – Qu’en penses-tu ? – Continuons à jouer !« , m’a-t-elle répondu. On s’est embrassés et, au moment où son jeune est revenu, elle l’a embrassé aussi. Dans la voiture, je conduisais sous la direction de Vincent, assis à ma droite. Ma femme apparaissait dans le rétroviseur intérieur. Nos yeux se croisaient, brillants d’une complicité amoureuse. « Vincent, as-tu des capotes ? » a demandé ma chérie. Cette simple question a fait exploser mon coeur. Nous étions dans le concret, le regard que m’a lancé Lili à ce moment ne laissait aucun doute. Nous sommes arrivés. Notre hôte nous a offert à boire. Ma belle a voulu aller se doucher. Elle s’est déshabillée tranquillement devant nous et a demandé en souriant où se trouvait la salle de bain. Seul avec Vincent, je lui ai dit la vérité : Lili était mon épouse et nous réalisions un fantasme. Il m’a répondu qu’il s’en était douté et qu’il avait beaucoup de chance, car ma femme était vraiment très belle. Lili lui a demandé de la rejoindre sous la douche. Notre gaillard ne s’est pas fait attendre.

Il a balancé ses fringues dans la pièce, dévoilant une queue déjà tendue. Je ne suis pas allé mater à sa porte, je préférais imaginer et laisser Lili me raconter. Bientôt, ce fut mon tour d’aller prendre une douche. J’ai croisé Vincent. Il était tout sourire. Je me suis collé à ma femme, je voulais lui parler, mais elle m’a imposé le silence d’un doigt sur la bouche et m’a soufflé : « On va tout faire comme avec lui. » Elle m’a embrassé et a guidé mes mains sur tout son corps : il paraissait clair que Vincent avait pris grand soin de savonner ma beauté ! Elle a saisi ma queue, puis s’est laissée glisser pour me prendre en bouche. L’imaginant ainsi avec un autre seulement quelques instants plus tôt m’a fait éjaculer très vite, et ma semence s’est répandue sur ses seins. Lui aussi était venu comme ça ? Pas de réponse, mais un sourire qui en disait long.

Nous sommes allés ensemble dans la chambre. Vincent nous attendait. Lili s’est allongée au milieu du lit. Nous nous sommes placés de part et d’autre de son corps dont nous avons caressé et embrassé chaque centimètre carré. Elle s’abandonnait à nos soins. J’ai constaté que ma Lili aimait beaucoup jouer avec deux queues. Elle nous branlait doucement, nous suçait à tour de rôle. Puis, elle a saisi un préservatif et m’a fixé en disant : « Je vais me faire sauter devant toi, tu pourras me contempler depuis le fauteuil. Il va me prendre dans tous les sens et je vais me régaler. Profite du spectacle mon amour. » De fait, j’ai assisté à une chorégraphie incroyable. Lili était chaude comme la braise, notre Vincent s’en donnait à coeur joie, tout y passait.

La scène était torride bien sûr, mais aussi d’une douceur incroyable. J’étais au comble de l’excitation devant ce spectacle fabuleux. À chaque changement de position, ma femme m’adressait un sourire complice. Elle a joui à cheval sur son amant, les yeux plantés dans les miens. Une fois redescendue sur terre, Lili m’a dit : « Viens me prendre mon homme, je veux sentir ta queue en moi. » Elle s’est placée en levrette et a libéré le sexe de Vincent de sa prison de latex pour le sucer. Notre étudiant se mordait les lèvres, il semblait apprécier le traitement que lui infligeait ma belle. « Ta femme suce vraiment bien, quelle chance tu as ! » J’ai saisi Lili par les hanches et je l’ai pénétrée avec un plaisir immense. Sa chatte était brûlante de la baise qu’elle venait de vivre. Elle s’est retournée, toujours en branlant son cavalier, et m’a demandé : « La soirée est-elle à la hauteur de ton fantasme ? » A ce moment-là, Vincent a joui entre ses mains. Du bout de la langue, Lili a recueilli les dernières gouttes. Cette vision m’a fait monter au septième ciel et je me suis abandonné sur son cul magnifique. Au moment de nous quitter, Vincent a demandé si nous allons nous revoir. Lili a noté son adresse mail et lui a dit : « On verra bien.« D e retour à la maison, et malgré l’heure tardive, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre pour une baise incroyable.

Un soir, quelque temps plus tard, j’ai proposé à ma femme de recontacter Vincent. Nous avons créé une adresse mail de circonstance et Lili lui a envoyé un petit message. La réponse ne s’est fait pas attendre : « Bonjour c’est Lili. Te souviens-tu de moi ? — Je ne suis pas près de t’oublier, es-tu enfin veuve que je puisse d’épouser ? — Je t’assure que mon mari est « très en forme ». D’ailleurs, dois-je te rappeler que c’est grâce à lui que tu as pu me sauter? — Bien sûr, je vous taquine, passe-lui le bonjour de ma part. » À mesure que les mails défilaient, Lili se détendait. Elle était debout face à l’écran, je lui caressais doucement les fesses. Il m’est alors venu une idée qui m’a donné le frisson : « Puisque tu quittes le boulot tard jeudi, pourquoi ne passerais-tu pas remonter le moral de ton bel étudiant ? » Lili m’a regardé, surprise, et a commencé à protester. Mais j’ai continué sur ma lancée: « Tu passes chez lui, tu te fais plaisir, puis tu rentres à toute vitesse à la maison me rejoindre pour tout me raconter dans le moindre détail. » Lili a réfléchi quelques instants. Ma main a glissé à la recherche de sa douce chatte que j’ai trouvée particulièrement accueillante. Alors, sans me répondre, elle s’est tournée vers le clavier : « Besoin d’un petit break ?« Je l’ai prise debout devant l’ordinateur. Mon idée semblait beaucoup lui plaire !

Le jeudi matin, j’ai noté à la dérobade que ma belle avait choisi mes dessous préférés, puis elle a innocemment enfilé un de ses jeans qui dessinent si bien son cul sublime. Nos regards se sont croisés dans la glace. « Je te plais ? » La journée a été longue, j’avais du mal à me concentrer sur mon boulot. Nous étions convenus que Lili m’appellerait quand elle serait en bas de chez Vincent: « J’y suis mon amour, à tout à l’heure. » J’étais excité à un tel degré que j’ai dû me branler tellement ma queue était tendue. Je me suis ensuite appliqué à préparer un bon petit repas pour le retour de ma femme. Et soudain, elle a débarqué dans le salon. Elle était sublime, ses yeux brillaient, je devinais son corps encore frémissant du plaisir qu’elle venait de prendre. Des sensations v i o l entes m’ont traversé: de la jalousie et de l’amour. J’ai tenté de résister à l’envie de la culbuter v i o l emment, là, maintenant, pour me réapproprier ce corps. En même temps, je souhaitais profiter de ce moment magique par son intensité.

Lili a senti tout ça et m’a soufflé : « Je ne me suis pas douchée, je voulais sortir de son lit pour te rejoindre directement. Me laver aurait été reconnaître une faute. Mais je ne t’ai pas trompé mon amour. J’ai joui en pensant à toi, à la situation, en te sachant parfaitement consentant. Je t’imaginais même en train de nous préparer un petit repas, la queue tendue sous ton tablier de cuisine. » Nous nous sommes mis à table. Lili m’a raconté son escapade avec beaucoup de soin, de détails, sans pudeur encombrante. Elle s’était littéralement lâchée: le désir du jeune homme l’avait excitée.

Elle avait pris beaucoup de plaisir à sucer Vincent, à jouer avec sa queue, elle l’avait poussé à jouir sur elle. Ensuite, elle s’était laissé prendre dans toutes les positions, tous les meubles de l’appart’ avaient servi à de nouvelles acrobaties. Elle s’était même fait sodomiser, ce qu’habituellement, elle me refuse. J’ai accusé le coup, mais elle m’a rassuré. Elle s’est levée, a fait le tour de la table, et s’est assise sur mes genoux : « Grâce à tes idées farfelues, je me sens désirable. Il est juste que tu sois celui qui en profite mon amour. Ce soir, je vais être tout à toi. »

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